Stimulation Magnétique Transcranienne répétitive
La stimulation magnétique transcrânienne répétitive STMr est soutenu par de nombreuses sociétés savantes à travers le monde comme une approche efficace contre la dépression majeure. Ce service est couvert par la majorité des compagnies d’assurances. Le CHUM, le Centre universitaire de santé McGill et l’Institut universitaire de santé mentale de Québec l’offrent, mais la liste d’attente est de 8 à 12 mois.
Neuroperforma, chef de file en neuromodulation par neurofeedback, est heureux d’annoncer que son protocole de stimulation magnétique transcrânienne répétitive (SMTr) sera bientôt disponible.
Inscrivez-vous dès maintenant sur notre liste d’attente pour être avisé du lancement de la cohorte et avoir la priorité pour réserver votre place.
La stimulation magnétique transcrânienne répétitive est une neurotechnologie sophistiquée qui fait l’objet de recherches cliniques depuis 1985. En 2008, la « Food and Drug Administration –FDA– » l’a approuvée comme traitement pour la dépression.

Le dernier siècle a permis des avancées fulgurantes dans la compréhension du cerveau et des troubles de santé psychologique.
Au début du siècle, une observation des symptômes dépressifs et de leur résolution à l’aide de la psychothérapie a donné lieu aux traitements de types psychothérapeutiques.
Au milieu du siècle, la découverte des effets positifs de certains médicaments sur l’humeur a donné lieu à une vision du déséquilibre biochimique du cerveau comme cause de la dépression. Différents médicaments ont été développés avec pour but d’améliorer l’activité des neurotransmetteurs sérotonine, dopamine et noradrénaline. Mais étant donné que le médicament agit sur l’ensemble du cerveau, incluant les aspects qui fonctionnent déjà normalement, de nombreux effets secondaires leur sont souvent associés tels que les baisses cognitives, les troubles du sommeil, la prise de poids et les pertes de libido.
Avec les avancées fulgurantes des neurosciences, une compréhension approfondie du cerveau et de son fonctionnement neuro-électrique s’est développée. La dépression est aujourd’hui connue comme étant un dérèglement du circuit électrique de l’humeur qui inclut plusieurs régions du cerveau.
Au sein du circuit de l’humeur, des régions plus évoluées qui normalement contrôlent les émotions et les pensées (en bleu sur l’image), perdent de leur puissance d’agir, laissant libre cours aux émotions négatives et aux ruminations (en rouge sur l’image).
Avec la création de neurotechnologies sophistiquées telles la SMTr, il est aujourd’hui possible de stimuler les régions précises du cerveau qui manquent de vigueur et de pouvoir d’action, sans pour autant modifier les régions saines du cerveau. La SMTr, en plus d’être efficace, est presque dépourvue d’effets secondaires.

La SMTr active les régions du cerveau qui contrôle les émotions afin de garder le cap de façon positive et constructive.
Généralement le cortex préfrontal dorsolatéral (CPFdl), qui joue un rôle clé dans la régulation de l’humeur est impliqué dans la dépression lorsqu’il ne fonctionne pas adéquatement.
Il en résulte de l’émotivité à fleur de peau, des pensées négatives qui tournent en boucle et des sentiments d’impuissance et de désespoir. On se sent triste, irritable, inférieur, anxieux et souvent prisonnier de cet état de mal-être.
En redonnant de la puissance à la région nommée CPFdl, la SMTr rétablit l’ordre par les impulsions qu’elle envoie stimulent l’activité neuronale et favorisent la communication entre les différentes régions du cerveau, contribuant ainsi à améliorer les symptômes dépressifs.
La SMTr stimule l’activité neuronale grâce aux impulsions qu’elle envoie, favorisant ainsi la communication entre les différentes régions du cerveau et contribuant à l’amélioration des symptômes dépressifs.
Le protocole Stanford Accelerated Intelligent Neuromodulation Therapy (SAINT) a montré une efficacité impressionnante dans le traitement de la dépression résistante. Une étude menée par l’Université de Stanford a révélé que près de 80 % des participants ont atteint une rémission rapide après seulement cinq jours de traitement. Une autre étude a rapporté un taux de rémission de 86,4 % dans une analyse en intention de traiter.

Voici quelques articles que vous pouvez citer à votre client :
- Stanford Medicine News Center : Présente les résultats d’une étude sur l’efficacité du protocole SAINT.
- American Journal of Psychiatry : Détaille les méthodologies et les résultats d’une étude approfondie sur le protocole SAINT.
- Neurocare Group : Discute des applications cliniques et des avancées du protocole SAINT.
À la lumière des résultats cliniques prometteurs, nous avons choisi d’offrir à notre clientèle un programme intensif, inspiré du protocole SAINT développé à l’Université de Stanford. Ce protocole, reconnu pour son efficacité rapide dans le traitement de la dépression résistante, nous permet de proposer une approche innovante, fondée sur des données probantes, tout en plaçant le bien-être de nos clients au cœur de notre démarche.
La SMTr est très sécuritaire et ne présente presque pas d’effets secondaires. Les plus communs sont un inconfort localisé pendant la stimulation. Quelques personnes peuvent aussi avoir des maux de tête qui peuvent durer quelques heures. Parfois certains ressentent de l’inconfort au niveau des yeux, des dents ou de la mâchoire qui est soulagé avec des analgésiques. Rarement, de l’anxiété ou des difficultés à s’endormir peuvent survenir au cours des premiers traitements. La SMTr peut être considérée par certains comme étant bruyante.
La SMTr est normalement bien tolérée. Il faut noter que les personnes qui portent un élément métallique ou ferromagnétique qui ne peut être enlevé et qui se trouve rapproché à moins de 30cm de l’aimant peuvent ne pas être admissibles à la SMTr et devraient demander conseil au fournisseur de SMTr s’ils ont l’un ou l’autre de ces items :
- Électrodes implantées
- Stimulateurs
- Clips d’anévrismes
- Des implants cochléaires
- Fragment métallique
- Epilepsie
- Masse intracrânienne
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Cette inscription ne vous engage à rien, mais elle nous permettra d’évaluer votre candidature et de vous inclure dans le processus de sélection.